Ce soir, il y avait duel dans la forêt.
Les elfes se sont faits dépecer, et y ont pris plaisir, allant jusqu’à y mettre du leur. 7 sorties pour un ultime KO, vs 1 sortie. Score final 2-1.
Et pourtant, le destin avait initialement souri aux sylvains : FAME de justesse, réception du ballon, gain d’une relance au coup d’envoi, mais aussi une sortie d’un gorille sur le premier bloc (un blitz en l’occurrence) de la partie. Apothicaire tour 1 sur la commotion. L’homme arbre lui, n’a pas osé appuyer ses frappes, parce qu’il aimait bien les facéties des primates.
Au tour 1, les Grands Singes renvoyait ad patres le 3/4 moins 1 armure, par un bloc appuyé du Dos Argenté, qui sera ensuite plus sage (4 1 sur la première mi temps, un autre sur la seconde et les deux au sol*2).
Au tour 2, les elfes tentent la traversée du rideau par un 3/4. 4+, ça passe. 3+, ça passe (je blémis, ça va être TRES dur de couvrir les deux flancs, avec un centre tenu par l’homme arbre). 2+, ça rate…3/4 sorti.
Au tour 3, les primates sortent un 3ème 3/4, en suivant scrupuleusement l’ordre de la feuille d’équipe, ainsi que stipulé par le coach sylvain Kale. L’homme arbre s’enracine, et les sylvains scorent sur une longue passe non interceptée (2 zones de tacle).
Leur kick est parfait (sur ma ligne de TD), mais je remonte. Les danseurs papillonent (sautent et blitzent à deux dés contre, sans effet, malgré les relances). Td tour 8.
En seconde, c’est un peu la même. Sauf qu’un danseur de guerre persistante a la bonne idée de s’autosortir sur un paquet raté sans relance…On sort ensuite le passeur sur agression, puis on agresse le dernier danseur à +6 qui finit KO après quelques tentatives. Reste l’homme arbre (enraciné), 2 receveurs, et un 3/4. On sort le 3/4 pour être tranquille. TD tour 16.
Pas d’émeute. 2 receveurs et un Homme arbre, c’est un peu juste pour un one turn.
Merci à Kale pour son calme impérial devant ses jets de blessure hors norme. Lors de notre précédente rencontre (Sylvains Kale, Ogre petitgars), je n’avais fait QUE des KO. Là, ç’était l’inverse. C’est clairement pas pareil.