Avec Yomit on a joué à qui aura le plus de malchatte, et le niveau a fluctué tout le long de la partie.
Dès le début du match, Yomit a failli à sa réputation en gagnant un Blitz sur le coup d’envoi, avec une balle qui dévie bien franchement vers la ligne médiane, pas loin du troll (mais il a laissé ses gobs sur le banc pour défendre).
La stabilité du golem (l’autre dort à l’infirmerie depuis le précédent match) me permet de contenir la poussée des orques noirs et je peux barboter le cuir sous le nez du troll, tout en créant assez de surnombre pour monter à l’assaut de la bête. Il me faudra 2 tentatives pour le mettre KO pour le reste de la mi-temps.
La vitesse des loups et goules permet de rapidement repartir du bon côté et marquer tour 6.
Je défends à 9 contre 11 les quelques tours restants avant la mi-temps (malgré 2 babes en prime de match !) et parviens à l’empêcher de se mettre à portée. L’absence du troll m’arrange fortement d’ailleurs.
La seconde mi-temps débute par un Rocher sur ma pomme (les coups d’envoi de mi-temps auront bien réussi à Yomit, mine de rien) qui envoie un revenant dans la fosse KO. 9 contre 11, ça continue.
J’infiltre un loup, une goule et un revenant sur une aile pour aller titiller sa cage, ce qui ne l’empèche pas d’avancer tranquillement mais finit par amener des esquives ratées.
En réponse à tous ses coups de chatte de début de mi-temps, Yomit fini par définitivement prendre le dessus de notre défi malchatte par un magistral 1 RR 1 sur une esquive de gob +1AG, sur la ligne de TD pour l’égalisation tour 15. J’ai eu très très chaud !
Le grand mouvement des loups et goules (surtout la +1M que je ne regrette pas du tout) m’auront finalement bien aidé tout le long du match.
1 sortie de chaque côté, de simples commotions.
La météo hivernale figée sur « 3 - Gelée » et son +1 sur les jets d’armure ne nous aura pas permis de briller sur l’aspect physique du jeu avec seulement une poignée de KO en plus (principalement mes joueurs d’ailleurs).
Du coup je gagne 1-0 mais j’en menais pas large jusqu’au bout, persuadé de finir sur un nul.